A Agatele gustablanco,Penelopenunca ha estado enIrán. Agatetiene un agujeroen el estómago,Penelopecome comoun cáncer. Agatele hechamantequilla a lapasta,Penelopelas prefiereplanas Agatecree enla individualidad,Penelopeen la humanidad, Sin embargo2065es el número deposiblesencuentros ensupequeño-granapartamento ...
Una exploración - basada en danza improvisada - sobreel espacioprivado, el espacio público,el choque de culturasyalgunos juegos de poderque conllevan las fronteras...
Articulo Sud Ouest (festival "Le temps d'aimer 2011") Samedi 17 septembre 2011 à 06h00 Par Céline Musseau Biarritz http://www.sudouest.fr/2011/09/17/
Petites échappées belles du festival Le festival multiplie les rendez-vous extérieurs. Le public est au rendez-vous
« Spaghetti 2065 », hier place Bellevue.
Photo: Camille Boulongne
Le festival prend ses aises cette année, il prend du large et s'accommode du plein air. C'était déjà le cas auparavant, mais il s'agissait de scènes ouvertes, de rencontres avec le public. Elles existent toujours. Mais pour ses 21 ans, le Temps d'aimer s'accorde le droit de sortir des salles, et les propositions extérieures sont de vrais spectacles. Avec de vrais morceaux de nouilles dedans. Comme dans « Spaghetti 2065 », hier sur la place Bellevue, une proposition de SOS danse, compagnie qui s'approprie l'espace public. Et le public.
Direct à la poubelleAinsi, cette tentative de rencontre entre deux femmes que tout oppose, l'une cloîtrée dans sa maison, précautionneuse et rigide ; l'autre qui a tout quitté et tente de poser ses valises pas trop loin. On est entre « Dogville » et Sangatte, là où la peur de l'autre et l'enfermement ne mènent pas bien loin. Direct à la poubelle. Là où le micro rappelle un Taser ou un quelconque détecteur, qui sert à tout sauf à donner la parole. Une histoire banale et triste interprétée avec beaucoup de couleurs et d'humour. Au moins 200 personnes étaient là, hier à 13 heures ; autant que sur le parvis du Casino la semaine dernière avec Tango Sumo qui a réussi le pari de figurer une prison sur fond d'océan. Visiblement, une bonne partie du public biarrot apprécie ces formes aérées, curieux de découvrir d'autres formes, un autre rapport au spectacle, des écritures libérées du carcan frontal traditionnel. (...)